
Aerowaves Dance Festival Luxembourg | 6ème édition
Un projet de neimënster et TROIS C-L | Maison pour la danse...
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Bless the Sound that Saved a Witch like me est une performance chorégraphiée pour Sati Veyrunes. I...
Performance solo/concert, The Body Symphonic observe le corps comme lieu de résistance. Un corps en...
Le spectacle de danse SIRENS d’Ermira Goro invite le public à un voyage sensuel et mystérieux da...
À partir d’un corps aux tempos variés et des mouvements du Kuduro, Gio Lourenço (Angola, 1987) ...
Tout en se dressant comme une contre-attaque face aux oppressions sociales, Angriff aborde la questi...
Les créateur.ice.s chorégraphiques du Luxembourg ont plus d’une corde à leur arc. Nous les enco...
Découvrez l'univers d'Alicia Cano et Benoît Callens dans cet nouvel atelier KIDS MOVERS pour les 10-14 ans ! Inspiré de leur pièce en duo "Echos I...
Découvrez la magie de l’automne lors d’un atelier KIDS MOVERS spécial parent-enfant avec Sissy Mondloch ! Parents et enfants participeront ensem...
La vidéo-danse combine la danse et la vidéo pour créer une expérience visuelle, narrative ou abstraite. Encadré par des experts de ce format, Bap...
Le solo chorégraphique ALEZAN de Loïc Faquet abordera la construction identitaire d’une femme face à la pression morale et à la complexité de choisir arbitrairement son destin. Tout en incarnant une dimension féministe, la performance illustre un être humain en plein dilemme sur son évolution sociale par rapport aux idéaux d’une société. Pouvons-nous nous affranchir des marqueurs sociaux qui entourent notre éducation, notre environnement, sans crainte et regrets ? Sommes-nous capables de distinguer nos propres désirs de ceux qui nous sont imposés ?
« J’appartiens à mon corps ou mon corps m’appartient-il ? »
Brian Ca fait l’expérience de ce corps dont il est à la fois possesseur et possédé. Sous le prisme de la contradiction, il explore les impacts potentiels, les momentums dynamiques et interroge le fait d’être conscient de sa propre gravité corporelle et les conséquences qu’engendre cette réflexion. Dans un espace restreint et non dédié, en proximité directe avec le public, il invite le spectateur à sentir plutôt qu’à voir.
Stimulant l’empathie cognitive et sensorielle qui nous relie, que provoquent nos sensations chez l’autre ? Cette exploration ? Est-il possible d’être pleinement conscient de son corps ? Et quelles sensations surgissent de cette conscience ? Quelle expérience en faisons-nous ? Au fil d’une accumulation de souvenirs corporels, de leurs traces, leurs mémoires, leurs échos ou transformations, INFRA prend la forme d’une série de tentatives brutes et instantanées qui suscite l’émotion des sensations.