3 du TROIS édition spéciale | Les 30 ans du TROIS C-L
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Dans leur spectacle dynamique, Amber Pansters, Maasa Sakano et Matti Tauru jettent un regard sur leu...
YOUNG MOVERS c'est un tout nouveau programme d'atelier de danse et de mouvement tous niveaux pour les 15-35 ans où la danse ballet, la danse contempo...
Florent Devlesaver vous propose de découvrir sa méthode qui repose sur un processus vivant et organique, où les danseurs et danseuses explorent le ...
Le collectif HEDO souhaite réunir des personnes de toutes générations ayant vécu de près ou de loin la problématique du départ afin de créer u...
Aurore Gruel souhaite, pour ce stage 55+ MOVERS, explorer et expérimenter la notion "d'alphabet dansé"...
Can a small dance change the world explore les dynamiques culturelles dans les sociétés post-coloniales, en soulignant l’importance de l’expression corporelle et de la danse comme formes de résistance, de célébration et d’intersections culturelles.
Piny explore en profondeur le présent et l’héritage de la danse, dans une perspective de formes non académiques et de leurs relations avec les danses traditionnelles et folkloriques. Elle s’inspire de la culture de la rue et du clubbing dans des environnements (sub)urbains, sous l’angle des différentes diasporas, du décolonialisme, de la queerness, de la tradition, du futurisme et de la présence
institutionnelle. Piny cherche à examiner les liens entre les personnes, les danses, leurs contextes politiques et sociaux. Elle entend relier les géographies et l’histoire par la recherche et la mise en évidence des différences et des similitudes théoriques, pratiques comme utopiques.
Elle explore les thèmes du post-colonialisme, de l’afrofuturisme, et réfléchit à l’espace et au moment de la performance. Ce projet vise à recentrer les périphéries, à créer des ponts entre les terres ancestrales perdues et à créer un contenu pluriversel, un espace de narration qui ne soit pas réservé aux blanc.che.s et non eurocentré.e.s.
CI-GÎT se veut une réflexion sur le corps, dans sa nature d’objet ou de sujet, une contemplation des métamorphoses corporelles possibles, assujetties au regard de l’autre. C’est un questionnement sur l’acte même de consentir au mouvement et au geste de démontrer un corps. C’est une réflexion sur le regard de l’autre, comme siège de l’existence et de l’acceptation, conditionnant l’être et son devenir. Être regardé.e pour exister. Désirer le regard de l’autre tout comme le fuir. L’attiser tout comme le refuser. Dans un abyssal sentiment d’absence de sens.
Cette version de La Voix Humaine proposée par Rhiannon Morgan et Mária Devitzaki tisse avec subtilité le texte percutant de Jean Cocteau et les mélodies évocatrices de Francis Poulenc avec la danse et la vidéo afin d’explorer les profondeurs de l’âme humaine. Au cœur de cette mise en scène se trouve le personnage « Elle », qui nous entraîne à travers les méandres de l’amour, de la perte, de la manipulation, du chagrin, de la solitude et du besoin inné de connexion humaine. À travers son regard féminin, nous découvrons les émotions brutes et les vulnérabilités d’une femme profondément affectée par une relation complexe. Les mouvements s’harmonisent avec la voix et la musique, créant une expérience totale. Grâce à cette approche multiple, cette création transcende les frontières culturelles et temporelles, permettant à chacun.e de s’identifier et de se questionner face aux dilemmes humains.