HORS CIRCUITS | Édition spéciale tanzmainz
Dans leur spectacle dynamique, Amber Pansters, Maasa Sakano et Matti Tauru jettent un regard sur leu...
Dans leur spectacle dynamique, Amber Pansters, Maasa Sakano et Matti Tauru jettent un regard sur leu...
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YOUNG MOVERS c'est un tout nouveau programme d'atelier de danse et de mouvement tous niveaux pour les 15-35 ans où la danse ballet, la danse contempo...
Florent Devlesaver vous propose de découvrir sa méthode qui repose sur un processus vivant et organique, où les danseurs et danseuses explorent le ...
Dans le cadre de la semaine de la pride luxembourgeoise, le TROIS C-L en collaboration avec William Cardoso et Rosa Lëtzebuerg souhaitent réaliser une table ronde autour de la notion de «queerness» dans les arts de la scène.
Inscription gratuite par e-mail à contact@arelinellv.cluster026.hosting.ovh.net | Plus d’informations en cliquant ICI
Attention : L’inscription à la Table ronde ne permet pas de participer à la soirée complète, merci de vous rendre sur la billetterie afin de pouvoir assister aux représentations à 19h !
Pensée comme une remise en question de ce qui est défini et accepté comme faisant partie de la normalité, Baby dépeindra avec intensité la dualité entre l’univers intérieur, l’imaginaire et la pensée face à la corporalité et la réalité dans laquelle nous vivons. Au-delà des normes et en explorant les nombreuses formes d’amour, ce workin- progress veut célébrer les individus en prenant la forme d’un véritable hymne à la différence, à la liberté d’être et d’exister sans compromis. William Cardoso cherche à approfondir l’idée de se confronter à soi-même et à l’autre pour s’exposer et exister aux yeux de tous.
Baby cherche les voix de possibles libérations face à une la complexité du monde et de nos existences.
Parasite montre un corps dépouillé de technique prestigieuse. Un corps en proie à ses mouvements semiconscients, ceux que l’on fait sans vraiment s’en rendre compte et que l’on appelle, parfois, des gestes « parasites ». Ce corps appartient-il à la danseuse ? Partiellement. Il est également celui du public qui le construit de son regard et qui est amené à l’habiter symboliquement, à travers la narration qui lui porte lors du spectacle. La vérité des histoires racontées sur ce corps est douteuse.
Mais n’en est-il pas toujours ainsi ? Cette recherche existe entre les failles du langage, quand la compréhension s’en retrouve impactée, pour créer un espace de compréhension entre le public et l’interprète.
Ppong explorera les sentiments particuliers reliés à la Corée du Sud et à son histoire. À travers la danse Jong-in Choi souhaite explorer le passé de son pays natal, de l’ère du Hanbok (costume traditionnel coréen) jusqu’à l’émergence de la K-pop. Reprenant la musique et la danse de périodes que nous pouvons définir comme traditionnelles ou « rétro », le chorégraphe explorera à travers le corps les récits d’amour, d’amitié, de jeunesse et de romance propres à ses ancêtres et aux générations actuelles.