
HORS CIRCUITS | ANGRIFF de William Cardoso
Tout en se dressant comme une contre-attaque face aux oppressions sociales, Angriff aborde la questi...
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Les créateur.ice.s chorégraphiques du Luxembourg ont plus d’une corde à leur arc. Nous les enco...
Pour la nouvelle édition du TalentLAB, venez découvrir 3 work-in-progress à partir de 19h. Cette ...
FΛRSΛ est une création scénique de Catarina Miranda pour trois interprètes et un dispositif hol...
Dans un monde où les liens entre les individus sont souvent éclipsés par la frénésie du quotidi...
Un projet de neimënster et TROIS C-L | Maison pour la danse...
YOUNG MOVERS c'est un tout nouveau programme d'atelier de danse et de mouvement tous niveaux pour les 15-35 ans où la danse ballet, la danse contempo...
Pour ce premier atelier KIDS MOVERS, Jennifer Gohier proposera un atelier pour les 6-10 ans qui permettra aux enfants de s’initier à la technique d...
Né dans les années 1970 au sein des clubs LGBT+, le Waacking est bien plus qu’une danse, c’est une manière d’exprimer et célébrer sa diffé...
Qu'est-ce que cela signifie d'être fort ? Qui définit la force ? Quelle place occupons-nous, et comment cette place est-elle perçue ? Anne-Mareike ...
Dans cet atelier, vous découvrirez le matériel de mouvement de la performance The Days en mettant l'accent sur la sensibilité et la conscience corp...
Dans le solo autobiographique Nabinam, le chorégraphe partage intimement son histoire d’adoption avec le public, comblant ainsi le fossé qui les sépare. À travers son récit sincère, il révèle les défis auxquels il a été confronté, depuis les comparaisons fondées sur la couleur de peau jusqu’à la douleur de la séparation avec un frère ou une sœur. Avec honnêteté et une touche d’humour, Nabinam emmène le public sur des montagnes russes émotionnelles, en naviguant habilement les multiples changements de rythme imprévisibles.
Avec le solo 331 grams, Isaiah défie les limites de son propre corps. Il utilise un stéthoscope relié à un microphone Lavalier pour faire résonner les battements de son propre cœur dans les haut-parleurs du théâtre. Son organe devient ainsi la partition musicale de la pièce. À mesure que le cœur du chorégraphe évolue sur de nouveaux rythmes, un sentiment d’urgence semble accompagner le nouveau tempo, créant un crescendo naturel au sein de la chorégraphie. Cette « mise à nu » est utilisée pour offrir une réflexion autour de la course éphémère contre le temps, en réaction à la vitesse à laquelle le monde évolue aujourd’hui. Cette création souhaite juxtaposer la croissance exponentielle technologique de nos sociétés avec le rythme cardiaque accéléré de l’interprète, nous offrant ainsi une réflexion sur notre condition humaine.