
HORS CIRCUITS | ANGRIFF de William Cardoso
Tout en se dressant comme une contre-attaque face aux oppressions sociales, Angriff aborde la questi...
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Un projet de neimënster et TROIS C-L | Maison pour la danse...
Bless the Sound that Saved a Witch like me est une performance chorégraphiée pour Sati Veyrunes. I...
Performance solo/concert, The Body Symphonic observe le corps comme lieu de résistance. Un corps en...
Le spectacle de danse SIRENS d’Ermira Goro invite le public à un voyage sensuel et mystérieux da...
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Les créateur.ice.s chorégraphiques du Luxembourg ont plus d’une corde à leur arc. Nous les enco...
FΛRSΛ est une création scénique de Catarina Miranda pour trois interprètes et un dispositif hol...
YOUNG MOVERS c'est un tout nouveau programme d'atelier de danse et de mouvement tous niveaux pour les 15-35 ans où la danse ballet, la danse contempo...
Né dans les années 1970 au sein des clubs LGBT+, le Waacking est bien plus qu’une danse, c’est une manière d’exprimer et célébrer sa diffé...
À partir d’un corps aux tempos variés et des mouvements du Kuduro, Gio Lourenço (Angola, 1987) construit un itinéraire biographique où le corps devient une allégorie de la mémoire. Le Kuduro apparaît dans les années 1990, à Luanda, dans un contexte de guerre civile. Les codes spécifiques de ce style de musique/danse sont parvenus au Portugal à travers le corps et les K7 de ceux qui se déplaçaient entre ces deux pays. C’est au cours de son adolescence, à la fin des années 90, alors qu’il vit déjà au Portugal, que Gio Lourenço rencontre cet univers et devient Kudurista, découvrant un corps brisé – le sien – où la mémoire se réinvente dans le geste. BOCA FALA TROPA propose un territoire artistique déplacé à partir d’une géographie concrète – le transit entre l’Angola et le Portugal – en partant des étapes et des codes du Kuduro pour croiser des éléments de la mémoire individuelle, et ses inévitables fictions, avec des éléments de la mémoire collective.
Comment rendre hommage à dix années de travail artistique et de créativité interrompues ? Existe-t-il un moyen de faire revivre un festival à travers une performance de danse ? Armin Hokmi et son équipe répondent à ces questions avec intelligence et brio dans Shiraz. C’est presque comme observer un lever ou un coucher de soleil : à chaque instant, cette œuvre mystérieuse et captivante révèle de nouvelles nuances au spectateur.
Six interprètes tissent un motif de mouvements, s’enroulant et se déroulant au rythme pulsé d’une bande-son captivante, traçant des trajectoires fluides qui les unissent en constellations éphémères. Avec une affinité indéfectible pour les impulsions naissantes entre les danseurs, Shiraz met en avant le travail collectif de mémoire et de danse ensemble. Une pratique de l’amour.